Un grand Bravo à Christian GUibert !
Etant passé par Nort sur Erdre le 18 Décembre, il se trouve actuellement à Blain (là où l'armée vendéenne a bivouaqué) avant de reprendre la route, ce dimanche 22 Décembre pour sa dernière étape d'une vingtaine de kilomètres, qui le conduira jusqu'à Savenay, dont les marais furent le théâtre d'atroces massacres commis par les troupes de Westermann, lancées à pleine poursuite après les Vendéens pour achever leur extermination. Savenay... Une victoire républicaine qui porta l' hallali, le coup de grâce à l'armée vendéenne.
Christian Guibert y séjournera toute la journée de Lundi, où il a prévu de rencontrer des historiens locaux pour revenir avec eux sur cette fin aussi tragique que funeste. Puis il regagnera son domicile au Mans, dès le lendemain afin de pouvoir passer le réveillon de Noël en famille.
Christian Guibert y séjournera toute la journée de Lundi, où il a prévu de rencontrer des historiens locaux pour revenir avec eux sur cette fin aussi tragique que funeste. Puis il regagnera son domicile au Mans, dès le lendemain afin de pouvoir passer le réveillon de Noël en famille.
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En terminant sa fabuleuse aventure, Christian Guibert avoue redouter « l'après » : dès la semaine prochaine, il retrouvera un quotidien beaucoup plus routinier et qui lui donne déjà quelques appréhensions... Comme il le dit lui -même : « On s'habitue à cette vie nomade, faite de rencontres sur les routes »
Lors de son passage à Ancenis, il a notamment pu observer l'endroit où les Vendéens de 1793 ont franchi la Loire pour retrouver leur terre de promission : leur chère Vendée protectrice, qu'ils avaient délaissés depuis plus de deux mois. A cette époque, les immenses prairies inondées par le fleuve en crue compliquaient considérablement le passage de la Loire... Certaines sources affirment même qu'au moment de la traversée, le fleuve royal s'étirait sur presque un kilomètre de largeur. Selon ces mêmes sources, le nombre de vendéens qui ont péri lors de cette traversée (tentant de passer la Loire soit à la nage soit à l'aide de radeaux de fortune) s'élèverait à plusieurs centaines.
C'est donc la tête pleine de souvenirs et le cœur chargé d'émotions que Christian Guibert termine sa fabuleuse épopée. Plus qu'une parenthèse personnelle qui s'achève, c'est avant tout un devoir de mémoire qui trouve là son épilogue.
Lors de son passage à Ancenis, il a notamment pu observer l'endroit où les Vendéens de 1793 ont franchi la Loire pour retrouver leur terre de promission : leur chère Vendée protectrice, qu'ils avaient délaissés depuis plus de deux mois. A cette époque, les immenses prairies inondées par le fleuve en crue compliquaient considérablement le passage de la Loire... Certaines sources affirment même qu'au moment de la traversée, le fleuve royal s'étirait sur presque un kilomètre de largeur. Selon ces mêmes sources, le nombre de vendéens qui ont péri lors de cette traversée (tentant de passer la Loire soit à la nage soit à l'aide de radeaux de fortune) s'élèverait à plusieurs centaines.
C'est donc la tête pleine de souvenirs et le cœur chargé d'émotions que Christian Guibert termine sa fabuleuse épopée. Plus qu'une parenthèse personnelle qui s'achève, c'est avant tout un devoir de mémoire qui trouve là son épilogue.
Nous tenons à adresser à Christian nos plus sincères félicitations pour sa formidable aventure qui a tenu en haleine de très nombreux lecteurs pendant plus de deux mois.